Améliorer la Formation
L'Impact des Normes ISO 21001 et ISO 10015
Salut à toi ! Tu t’es déjà demandé ce que c’est que ces fameuses normes ISO 21001 et ISO 10015 ? Et surtout, à quoi elles servent dans le monde de la formation et de la qualité ? Pas de panique, on va voir ça ensemble, tranquille, comme si on papotait autour d’un café.
Qualité de la formation en action
Pas besoin de se
noyer dans les termes techniques : ici, on simplifie, on illustre, et on parle vrai.
Pourquoi on parle
de qualité dans la formation ? Alors déjà, faut comprendre un truc : la formation,
que ce soit à l’école, à la fac ou dans une boîte, c’est la base. C’est
ce qui fait tourner la société : plus on apprend bien, plus on bosse bien, plus
tout le monde avance.
Et comme on a
parlé dans les articles précédents de la formation dans la qualité, on parle
ici de la qualité dans la formation, et ça peut vouloir dire pas mal de
choses :
- Le contenu des programmes (ce
que tu apprends vraiment)
- Les méthodes des formateurs
(comment on t’enseigne)
- Les évaluations (comment on
voit si t’as compris ou pas)
- Et même la recherche, dans le
cas de l’enseignement supérieur.
Mais au final, le
vrai but, c’est simple : une formation de qualité, c’est une formation utile,
cohérente, et qui t’aide à atteindre tes objectifs. Que tu sois
apprenant ou formateur.
Une bonne
formation, ce n’est pas juste un PowerPoint qui défile et des tests à cocher.
Il faut plusieurs
ingrédients bien dosés :
- Des formateurs compétents et humains
- Des supports pédagogiques à jour et adaptés
- Un environnement d’apprentissage motivant
- Dans les grandes écoles ou universités
là,
c’est encore plus crucial. Parce que l’enseignement supérieur, c’est ce qui
prépare les futurs pros, chercheurs, innovateurs... bref, ça construit le
futur. Et si les pratiques éducatives sont bien installées et bien pensées, ça
aide les étudiants à réussir, les chercheurs à avancer, et les institutions à
rayonner.
Résultat : plus d’élèves motivés, plus de
profs brillants, et une réputation qui grimpe en flèche. Tout le monde est
gagnant.
Le temps
académique : bien plus qu’un simple emploi du temps
Dans une école,
une université ou même une entreprise qui fait de la formation, ce qui fait la
différence, c’est comment les bonnes pratiques s’installent durablement.
On appelle ça un mot un peu savant : l’institutionnalisation des pratiques.
En gros, c’est quand la qualité devient une habitude, un réflexe, une culture.
Et tu sais quoi ?
Quand un établissement entre vraiment dans cette dynamique, il forme mieux ses
étudiants, il fait avancer la recherche, il rayonne plus largement. Et ça
attire du monde : de bons apprenants, de bons formateurs, de bons résultats.
Mais au cœur de
tout ça, il y a un truc super important qu’on zappe souvent : le
temps académique, le vrai, celui qui structure toute l’expérience
d’apprentissage.
OK, mais c’est
quoi exactement ce “temps académique” ?
Tu pourrais
penser que c’est juste ton planning de cours, du genre “Maths de 8h à 10h,
pause, puis Histoire”… mais non. C’est beaucoup plus large que ça.
Le temps
académique, c’est tout le cadre temporel qui permet d’organiser
l’apprentissage :
- Comment les cours sont répartis dans
l’année
- Comment les sessions sont enchaînées
- Comment on planifie les projets, les
évaluations, les périodes de repos, etc.
Bref, c’est un
peu l’ossature invisible qui structure ton expérience d’apprentissage,
et aussi le boulot des profs, des chercheurs, et de tout le personnel éducatif.
Pourquoi c’est
si crucial ?
Mais trop
souvent, on le gère à l’ancienne : on cale des heures de cours dans des cases,
et basta. On oublie :
- Le temps pour digérer l’info
- Le temps pour collaborer
- Le temps pour expérimenter
- Le temps pour s’investir et trouver
du sens
Et du coup, tu te retrouves à courir après les deadlines, à empiler les infos sans pouvoir les relier. Résultat : tu retiens moins, t’es moins motivé, et ton esprit critique passe à la trappe.
Et c’est là que les normes ISO peuvent changer la donne
Eh oui, les
normes ISO 21001 et ISO 10015 (dont on parle plus en détail
après) ne sont pas là pour faire joli sur une étagère. Elles donnent un vrai cadre
intelligent pour :
- Structurer le temps d’apprentissage
- Mieux répartir les activités
pédagogiques
- Créer des parcours plus cohérents
En gros, elles
t’aident à faire en sorte que chaque minute compte, pour les élèves, les
profs, et toute l’équipe.
Les normes ISO
: des outils pour faire les choses bien (et pas juste pour faire sérieux)
Et dans le monde de la formation et de l’éducation, il y en a deux qui valent vraiment le détour : ISO 21001:2018 et ISO 10015:2019
Ces deux-là, c’est un peu les GPS de la qualité dans les organismes éducatifs. Elles ne sont pas là pour te rajouter des couches de paperasse, mais pour t’aider à mettre en place un système clair, structuré et efficace. Pas de blabla inutile, juste des principes concrets pour t’assurer que ce que tu proposes (ou ce que tu suis) est vraiment de qualité.
Ces normes s’appuient sur quoi exactement ?
Elles font partie
de la grande famille des normes ISO 9000 – celles qui parlent de management
de la qualité. Et dans cette famille, il y a quelques idées qu’on retrouve
toujours :
- L’importance des personnes
compétentes (parce qu’un bon système sans humains bien formés, ça ne
tient pas)
- La culture de l’amélioration
continue (on ne se repose jamais sur ses lauriers, on cherche toujours
à faire mieux)
Donc non, ces
normes ISO ne sont pas des boulets. Ce sont des outils puissants, conçus
pour t’accompagner dans ta démarche qualité – que tu sois formateur,
responsable pédagogique, ou même apprenant.
ISO 21001 : La qualité dans l’éducation, version organisée
Tu bosses dans
l’éducation ou la formation ? Alors ISO 21001 est ton meilleur allié
pour structurer les choses sans prise de tête. C’est une norme qui t’aide à
organiser ton système éducatif pour qu’il soit plus clair, plus efficace, et
centré sur l’apprenant.
Elle est un peu
cousine de la célèbre ISO 9001 (qualité), mais adaptée aux écoles, universités,
centres de formation…
Ce qu’elle met
en avant :
- Une direction engagée
- Des objectifs pédagogiques clairs
- Une vraie écoute des besoins des
apprenants
- Une logique d’amélioration continue
- Des évaluations régulières pour
ajuster le tir
Le tout
fonctionne comme un cycle simple : on planifie → on applique → on évalue
→ on améliore.
Pourquoi c’est
utile ?
Parce que ça rend
la gestion de la formation plus fluide, ça booste la satisfaction des
étudiants, et ça aide à réagir intelligemment aux changements. Tu ne
navigues plus à vue : t’as une vraie stratégie éducative.
Exemple
concret : l’Académie de Police du Liban
Ils ont appliqué
ISO 21001 pour mieux gérer leur temps académique. Résultat ?
- +12 points sur le taux de réussite
- Des étudiants et des profs plus
satisfaits
- Un programme de formation plus
pertinent et mieux rythmé
Ils ont tout revu
avec une approche qualité, en impliquant les formateurs et les
apprenants. Et ça a payé.
En bref :
ISO 21001, c’est
une méthode claire pour :
- Mieux organiser les programmes
- Améliorer l’enseignement
- Maximiser l’efficacité de
l’apprentissage
- Créer une vraie culture qualité dans
l’éducation
Tu veux un
système pédagogique qui tient la route ? C’est par là que ça commence.
ISO 10015 : La qualité, ça passe aussi par les compétences !
Que tu sois prof,
formateur, RH ou apprenant, cette norme est là pour aider à identifier,
développer et valoriser les compétences. C’est une sorte de GPS pour gérer
les talents, sans oublier personne en route.
Son message
clé :
Et ça marche dans
tous les secteurs, pas que dans l’éducation.
Concrètement,
ça sert à quoi ?
ISO 10015 t’aide
à :
- Définir les compétences nécessaires
(au niveau individuel, des équipes et de l’organisme)
- Voir ce qu’il manque (les fameux
“écarts de compétences”)
- Mettre en place des actions concrètes
: formations, coaching, échanges, réorganisation…
- Suivre les résultats et s’améliorer
en continu
Quelques
notions utiles (promis, c’est simple) :
- Compétence = ce que tu sais et sais
faire
- Développement des personnes = faire grandir les compétences dans
un cadre motivant
- Savoir-faire = ce que tu maîtrises en pratique
- Connaissances = ce qui t’aide à décider et agir
intelligemment
Comment ça se
met en place ?
- On analyse les besoins en
compétences (ce qu’il faut, ce qui manque)
- On regarde ça à tous les niveaux :
global, équipe, individuel
- On planifie des actions
(formations, coaching, recrutements…)
- On évalue l’impact : est-ce
que ça a vraiment servi à quelque chose ?
Le top ? C’est
quand les objectifs de l’organisation et ceux des personnes se
rejoignent. Là, tu crées une vraie culture qualité.
Qui fait quoi
dans l’histoire ?
- L’organisme : il pilote, planifie, fournit les
ressources et encadre tout
- Les formateurs / encadrants : ils mettent en œuvre, adaptent,
évaluent
- Les personnes formées : elles participent, s’expriment, et
progressent
On mesure, on
ajuste, on avance
ISO 10015 insiste
sur le suivi et l’évaluation. C’est pas juste “on forme et on
espère”. Non, on regarde :
- ce qui a changé (en bien ou pas)
- ce qui reste à faire
- comment on peut s’améliorer encore
Et ça peut se
mesurer en chiffres (productivité, taux de satisfaction…) ou en observation
terrain (comportements, progression, engagement…).
Et demain ?
En résumé :
ISO 10015 et la GPEC : même combat, même objectif !
On a parlé de
compétences, de développement des talents… et là, un autre mot entre en jeu :
la GPEC. Oui, encore un acronyme ! Mais t’inquiète, c’est simple.
GPEC, ça veut dire Gestion Prévisionnelle
de l’Emploi et des Compétences. En gros, c’est un outil RH qui permet de
faire le lien entre :
- les compétences dont l’entreprise
a besoin pour avancer
- et celles que le personnel possède
déjà.
Tu vois le lien
avec ISO 10015 ? C’est la même philosophie : anticiper, planifier,
accompagner. On évite les surprises et on investit dans les bonnes
personnes, au bon moment.
Pour que la
GPEC fonctionne vraiment, quelques règles d’or :
Parmi les
outils GPEC les plus utiles :
- L’organigramme (qui fait quoi
dans la boîte ?)
- Les fiches de poste (quelles
compétences sont attendues ?)
- Le référentiel de compétences
(la boîte à outils des savoirs et savoir-faire)
- Les entretiens d’évaluation
- Et bien sûr… la formation,
pour faire évoluer tout ça !
Mais avant tout,
une GPEC efficace commence par une photo réaliste de la situation :
quels métiers sont présents ? Quelles compétences sont disponibles ? Quels
profils avons-nous en interne ? C’est ce qu’on appelle un état des lieux,
qui sert ensuite de base pour faire des choix stratégiques solides.
Comment ISO 21001 et ISO 10015 fonctionnent main dans la main
Tu l’as sûrement
deviné : ces deux normes ne sont pas rivales, elles sont complémentaires.
Un vrai duo gagnant pour faire décoller la qualité dans un organisme
éducatif ou de formation.
![]() |
Deux normes, une vision commune |
Pourquoi les
utiliser ensemble ?
Un établissement
éducatif qui veut bien faire les choses a besoin des deux :
- Un cadre solide pour piloter
la qualité (merci ISO 21001)
- Une stratégie claire pour
développer les talents (merci ISO 10015)
Quand tu combines
les deux, tu crées un système où :
- Les programmes sont plus cohérents
- Les profs et le personnel sont plus
performants
- Les étudiants vivent une meilleure
expérience d’apprentissage
Conclusion
Et ouais, le
temps académique bien géré + les compétences bien cultivées, c’est
le combo parfait pour que l’apprentissage soit vraiment efficace, motivant et
durable.
Donc la prochaine
fois que quelqu’un te parle de normes ISO dans une réunion, une formation ou un
projet, ne roule pas des yeux, pense à ça comme à une boussole : elles
sont là pour t’aider à garder le cap, à progresser intelligemment, et à
créer un environnement où chacun peut donner le meilleur de lui-même.